mardi 10 décembre 2013

Cadeau de noël mortel !

Vous ne savez pas quoi offrir 
 à 2 semaines de noël ?

Et pourquoi pas un cadeau personnalisé ?

Une deuxième dédicace d'Histoires Mortelles est prévue le 

SAMEDI 14 DÉCEMBRE

De 14h00 à 18h00

http://www.cultura.com/les-magasins/cultura-pince-vent.html

CULTURA Pince Vent
Avenue de l’Hippodrome
A côté du magasin Toys'R'us
94510 LA QUEUE EN BRIE
tel. 01 45 93 93 53


Ce serait dommage de rater ça !

Surtout, dites-le à tout le monde !

samedi 7 décembre 2013

Journée dédicace à Marolles


Samedi 7 décembre fut donc une première journée de dédicace qui s'est excellemment passée. Je tiens à remercier Monsieur et Madame Cote de la librairie Mag Press de Marolles en Brie.

L'auteur ....


en plein travail !!!

Rendez-vous samedi prochain 14 décembre au Cultura Pince Vent de la la Queue en Brie, de 14h00 à 18h00 !



jeudi 5 décembre 2013

DEDICACE

Venez rencontrer l'auteur
d'HISTOIRES MORTELLES
Samedi 7 décembre 2013
de 10 h à 13 h
à la librairie Mag Press
14 rue des Marchands
94 440 Marolles en Brie


Venez nombreux et faites passer !

mercredi 27 novembre 2013

Une photo mortelle !!



Ça en jette, non ?
Cette superbe affiche a été réalisée par un ami photographe professionnel, Alain Kernevez.

Je vais pouvoir m'afficher !

Alain a publié un très beau livre sur le secours en mer. Je vous invite à suivre les liens pour en voir quelques photos et, pourquoi pas, le commander. 
(En plus du mien !)

Un cadeau original pour les fêtes !





Quelques superbes photos du livres "Secours en mer"

Pour commander le livre "Secours en mer"

lundi 25 novembre 2013

Information limitée mais ....

Oui, limitée, car cette fois-ci l'information ne concerne que les parisiens ! Désolé pour les autres. 
Mais il ne tient qu'à vous, humbles lecteurs, de palier à cette situation. 

L'information est que je suis sur la liste de commande des bibliothèques de la ville de Paris !

«Histoires mortelles a été très bien reçu, proposé sur liste de commande groupée à tout le réseau des bibliothèques de la Ville de Paris, et de fait intégré dans notre base de données interne avec mention spéciale « recommandé » et ce petit texte d’accompagnement :
« Des nouvelles drôles, étranges, bien écrites et pourtant très accessibles. »
Vous pourrez donc, d'ici peu, emprunter "Histoires mortelles" dans la bibliothèque de votre arrondissement.

Pour les autres, n'hésitez pas à me demander la fiche du livre, si vous souhaitez que votre bibliothèque acquiert ce formidable ouvrage !

jeudi 31 octobre 2013

GOOD NEWS !!

A noter dans vos agendas :

DÉDICACE

SAMEDI 7 DECEMBRE 2013

10 H - 14 H

LIBRAIRIE DE MAROLLES EN BRIE

Dans le Val de marne

Venez nombreux

(D'autres informations en temps utiles)

vendredi 27 septembre 2013

Incroyable mais .....

Si, si !
Je suis référencé au Canada !

La librairie Gallimard de Montréal, en la personne de Madame Marie-Dominique Nadeau-Girard, a eu l'extrême gentillesse de bien vouloir me référencer sur son site et du coup, je suis "visible" de l'autre côté de l'Atlantique !! 
Qu'elle en soit éternellement remerciée !



Le voyage s'est bien passé. Il reste maintenant à savoir si le livre s'acclimatera aux rudes conditions de ce beau pays !


Si vous allez à Montréal, n'hésitez pas à passer par la librairie Gallimard pour leur faire un petit coucou de ma part !

mardi 24 septembre 2013

Jerome K. Jerome



Aujourd’hui, j’aimerai vous parler de Jerome K. Jerome et de son livre « Trois hommes dans un bateau ! »
Sans parler du chien !

Ce chef d’œuvre de l’humour britannique est aujourd’hui considéré comme de la littérature enfantine ! 

A l’instar d’ « Un conte de noël » de Dickens, satyre de la société victorienne, « Trois hommes dans un bateau » est une critique acerbe de la société anglaise du début du XXe siècle. Et pourtant ces deux livres ne sont aujourd’hui plus lus que pour ou par les enfants.
C’est un tort auquel j’espère bien pouvoir remédier !
En revanche, le pamphlet de Swift : « Modeste proposition pour empêcher les enfants des pauvres d’être à la charge de leurs parents ou de leur pays et pour les rendre utiles au public » (ouf !), qui est du même acabit, n’est pas considéré comme de la littérature enfantine !! Bon, c'est vrai que Swift propose une manière bien particulière de réinsérer les pauvres dans le cycle économique puisqu'il écrit à propos de la viande de bébé : « J'admets qu'il s'agit d'un comestible assez cher, et c'est pourquoi je le destine aux propriétaires terriens : ayant sucé la moelle des pères, ils semblent les plus qualifier pour manger la chair des fils.» ....

Enfin, bref, comme disait le père de Charlemagne.

Si je vous parle de cet empereur européen, c’est pour raison bien simple : C’est au collège que j’ai découvert deux des plus grands auteurs anglais du siècle : Jerome et Tolkien. En tout cas, c’est ce que je pensais à l’époque. Depuis, j’en ai lu beaucoup d’autres qui ont largement mérité de rentrer dans mon Panthéon. De Douglas Adams à Terry Pratchett, en passant par Tom Sharpe (récemment décédé) et P.G. Wodehouse. Et je ne vous parle que des sujets de sa gracieuse majesté !!!
Mais chaque chose en son temps ….

Bienheureux le bibliothécaire du collège Jacques Jorissen qui avait eu la bonne idée de proposer de tels ouvrages. Malheureusement, déjà à l’époque, la fiche d’emprunt ne comportait que peu de nom et même aucun pour Jerome si mes souvenirs sont bons. Après avoir achevé la lecture, je me suis empressé d’acheter les quatre ouvrages (trois tomes pour le Seigneur) et de les relire aussitôt !
Vertes années, j’avais 15 ans, où j’ai visité pour la première et sûrement pas la dernière fois, la Terre du Milieu et la campagne anglaise. Qui parfois ont des airs de ressemblances, d’ailleurs !!

Du coup, quand deux ans plus tard j’ai lu « Des femmes qui tombent », l’allusion à Jerome K. Jerome et à l’hydropisie des femmes de chambre que faisait Pierre Desproges dans son livre m’a fait comprendre que j’étais sur le bon bateau !!
« Trois hommes dans un bateau », c’est l’histoire de trois hypocondriaques dont le narrateur qui après avoir lu le Vidal anglais, se rend compte qu’il a toutes les maladies décrites dans le livre, sauf l’hydarthrose des femmes de chambre ! Ce qui le désole pendant un petit moment ! Après être allé voir son médecin qui lui conseille une bonne pinte de bière et de ne pas lire des choses qui le dépasse, il convient avec ses deux amis de prendre des vacances en louant un bateau et de descendre la Tamise, avec Montmorency, son fox-terrier......

Rien que la préparation du voyage va prendre plusieurs chapitres où les digressions sont nombreuses et l’absurde toujours au rendez-vous.
Comme je suis un gentil garçon, je vous donne un lien vers ce formidable livre, que je vous conseille quand même d'acheter !
Sur le même site, vous trouverez aussi une version audio téléchargeable.
Le ton est peu pédant et précieux, mais écoutez donc le premier chapitre et je pense que vous voudrez connaître la suite !!

Question biographie, Jerome Klapka Jerome est né à Walsall dans le comté de Stafford le 2 mai 1859. Son nom de baptême serait Jerome Clapp, mais il le changea en Klapka, du nom d’un héros de la guerre d’indépendance hongroise de 1849, quand il eut besoin d’un nom de plume. Il inventa même une amitié entre ce Klapka et son père qui aurait rédigé la biographie du hongrois !
Jerome a écrit plus de 40 romans et pièces de théâtre, sans parler d’articles publiés dans de nombreux journaux.
Mais à part « Trois hommes dans un bateau » et dans une moindre mesure « Loisirs d’un oisif », « Ma vie et mon temps » (paru un an avant sa mort) et « Tous les chemins mènent au calvaire » où il raconte son expérience d’ambulancier pendant la première guerre mondiale (côté français car il fut réformé par les anglais), Jerome reste un quasi inconnu dans notre pays.

Jerome mourut des suites de ce qu’on appelle aujourd’hui un A.V.C., le 14 juin 1927, après quinze jours d’agonie, incapable de bouger ou de parler.


Pour conclure, je dirais simplement que « Trois homme dans un bateau » est considéré comme un des plus grand chef d’œuvre de l’humour anglais. 
Ah, zut, je l'ai déjà dit ! ..... 
Pas grave, les vérités sont toujours bonnes à répéter !!



The Jerome K. Jerome Society : Site en anglais où vous trouverez des informations et des vidéos de la BBC.

samedi 24 août 2013

Philip K. Dick -1-



Pour débuter la série de portraits de mes maîtres à écrire, je vais vous parler de Philip K. Dick. D’abord parce qu’il faut bien commencer par quelqu’un et ensuite parce que je suis tombé sur un article que j’avais rédigé en 1995 pour un fanzine destiné aux rôlistes et dont la relecture m’a paru appropriée.

Bien sûr cet article est loin d’être exhaustif, mais c'est un bon début. Je vous le livre tel quel :



            Vous les fanas de jeux de rôles, connaissez-vous Philip K. DICK ?

            Avant de répondre à votre place, comme il coutume de le faire dans un article, je dois vous parler de ceux qui connaissent cet auteur de science - fiction. Ils forment deux groupes très antagonistes. Il y a ceux qui adorent et ceux qui détestent. On ne peut pas seulement « aimer » DICK : soit on l’abhorre et on le voue aux gémonies, soit on devient un inconditionnel dangereux, capable des pires extrémités comme d’écrire un article dans un support de propagande à distribution gratuite.

Il n’y a pas de demi-mesure.

Pourquoi une telle réaction direz-vous?

Je dirais : « Parce que vous n’avez encore jamais lu un de ces romans ou une de ses nouvelles. »

            Savez-vous qu’il existe des Univers parallèles dans lesquels chacun d’entre nous évolue différemment. Savez-vous que dans l’un de ces Univers les forces de l’axe ont gagné la seconde guerre mondiale et se partage le monde mais qu’un livre circule sous le manteau évoquant la victoire des alliés ? Savez-vous qu’un Univers qui paraît réel peut être créé de toutes pièces et qu’il faut  trouver son créateur humain et réussir à le détruire pour s’en échapper ? Savez-vous que le jeu de rôle sera un moyen pour les futurs voyageurs intersidéraux de compenser la dureté et la solitude de ces longues traversées spatiales ? Savez-vous que l’on peut implanter un souvenir factice dans le cerveau d’un homme pour le protéger ou pour s’en débarrasser mais que parfois ce faux souvenir peut se révéler d’une réalité terrifiante ? Savez-vous qu’une religion implantée depuis des décennies peut puiser ses racines dans l’avenir ?

            Non, bien sûr, tout cela vous ne le savez pas si vous n’avez jamais ouvert un ouvrage de Philip Kindred DICK. Cet auteur américain mort en 1982 et qui est considéré en France  comme l’Edgar Allan POE du XXe siècle. Personnellement je ne ferais pas ce rapprochement. D’abord pour ne pas braquer les inconditionnels de POE, et ils sont nombreux, ensuite parce que l’obsession permanente de l’existence d’Univers parallèles que l’on peut traverser et retraverser jusqu’à douter de la réalité de notre propre Univers et de notre propre réalité n’est pas une caractéristique de POE, mais bien de DICK.

            Si je vous parle de Blade Runner, vous savez ce film de Ridley SCOTT avec Harisson FORD, ou bien de Total recall avec Arnold SCHWARZENEGGER... ça vous dit quelque chose n’est-ce pas ?

Moi je dirais simplement : « Do androids dream of electric sheep ? » et « We can remember it for you wholesale. »

Et oui ! Ces 2 films furent respectivement tirés d’un roman et d’une nouvelle de Philip K. DICK. Etonnant, non !

            Alors, en ai-je dit assez ou en voulez-vous plus ?


Romans de Philip K. DICK auxquels il est  fait allusion dans cet article :

·      Le maître du haut château                   
·      L’oeil dans le ciel                           
·       Au bout du labyrinthe                   
·      Total recall                                      
·      Le crâne                                           
·      Blade runner